
Le système judiciaire, service public le plus corrompu (DR)
Opérationnel depuis février, le Centre d’assistance juridique anti-corruption (Cajac) de Transparency, à Rabat, dirigé par Halima Bensouda, assure l’accueil des usagers grâce à une équipe spécialisée pour traiter leurs requêtes et leur prodiguer des conseils juridiques, à titre personnel, gratuits et confidentiels.
Toute personne, témoin ou victime d’une situation de corruption au sens large (trafic d’influence, détournement de fond ou autres formes d’abus), peut s’adresser au Cajac.
Selon l’Indice de Perception de la Corruption, publié par Transparency, le Maroc maintient sa note de 3,5 en 2008, mais dégringole de la 72ème à la 80ème place.
Toujours selon Transparency Maroc, le système judiciaire marocain vient en tête des services publics corrompus, suivi de la police, des activités liées à la délivrance des permis et autorisations, et des services de santé.
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